Frédéric Michalak, en plus d'être un monument des Dieux du Stade (aaaahhh les Dieux du Stade...), est également un sportif incontournable dans le paysage du rugby français. Après la dernière défaite du XV de France contre l'Afrique du Sud, il a déclaré : "en France, on ne pense qu'à gonfler les biceps mais pas le cerveau". Du coup, j'ai eu très très envie de repartager avec vous mon expérience de la préparation mentale.
Pendant loooongtemps, et même plus que cela, j'ai pensé que ce truc-là était réservé aux professionnels du sport et que moi, avec mon niveau plus proche des pâquerettes que des nuages, je n'étais pas concernée. Et quand je parle de pâquerettes, on peut même évoquer des pâquerettes naines. Je suis sûre que ça existe, si si !
Et puis je croyais également que cela consistait en une espèce de psychothérapie façon new-age, et franchement, je n'avais plus très envie de farfouiller dans le bordel qui règne parfois dans mon cerveau.
Et vous savez quoi ? J'avais tort, mais alors, dans les grandes largeurs !!!
Parce que déjà, la préparation mentale, ce n'est pas analyser le pourquoi du comment de notre histoire. Du tout du tout. C'est une boîte à outils, basée sur la concentration, de façon à éliminer au maximum tout ce qui parasite notre pratique.
Attention, quand on parle de parasite, on on ne parle pas de la co...asse que l'on n'aime pas, on parle des pensées négatives, même si la co..asse est un gros parasite. On n'a pas le droit de l'éliminer, elle, on aurait des soucis avec la justice.
Quant au niveau... faut que je fasse un aparté. Dans la série "idées reçues", je considérais que les grands cavaliers, ceux qui sautent 140 comme je passe les barres au sol, étaient des êtres surnaturels venus d'ailleurs, et surtout j'étais absolument convaincue qu'il s'agissait de gens snobs et condescendants envers le bas peuple. Et bam ! j'en ai rencontré un, et vlan ! il s'avère que j'avais encore tort. C'est le seul cavalier de haut niveau que je n'ai jamais côtoyé, et non seulement il est sympa et accessible, mais en plus, c'est un excellent pédagogue qui m'a fait comprendre que peu importe la hauteur, nous méritons tous le même respect.
Bref, j'en suis arrivée à la conclusion que moi aussi, puisque mon problème principal est la peur, je pouvais solliciter une préparation mentale. Et là, vous allez me dire : "mais t'as pas déjà une coach ?"
Et bienî si, et ma coach est même particulièrement brillante, tant par ses compétences de coaching que par ses qualités humaines (je t'aime Virg' !! m'abandonne pas surtout !!!).
Son seul défaut, c'est qu'elle n'est pas un robot, qu'elle a aussi besoin de dormir et de manger (tarte au citron meringuée, pour la corrompre, y'a rien de mieux). Dès lors, elle ne peut pas nous briefer sur tout. Elle m'avait déjà donné des outils que j'utilise toujours (exemple, ma routine de début de piste : la cloche sonne, je m'arrête, je ferme les yeux, je respire, je visualise le n° 1 et je prends le galop). Mais voilà, j'avais besoin de plus. Oui, même pour aller sauter 80 cm (quand je vous dis que ce n'est pas la hauteur qui compte, bon sang !).
J'ai donc choisi une préparatrice mentale que j'avais vue sur feue Equidia et qui était intervenue au club, Carine Camboulives (réussir sur mesure). Il faut préciser que le coach reste le coach, et que jamais, au grand jamais, je n'accepterai que quelqu'un vienne contredire la mienne ou cherche à décrédibiliser sa façon de faire. Ma coach, c'est la meilleure, et personne n'a intérêt à dire le contraire, nomdidiou !
Carine, et j'espère que tous les préparateurs sérieux font de même, communique en préambule sa charte de déontologie : le respect des choix du coach y figure, ainsi que le fait qu'elle n'apporte "qu'un" complément à nos entrainements et concours.
Sa méthode se base sur la sophrologie, la méditation de pleine conscience, la respiration et sur tout ce qui permet de se recentrer sur soi.
Quelques séances ont suffit pour que je dispose d'une solide panoplie. Au départ, je voulais tout appliquer, et c'est une erreur ! Carine m'avait pourtant prévenue !!! J'ai ensuite "choisi" les outils qui me conviennent le mieux et qui ne sont pas toujours les mêmes selon mon état d'esprit du moment.
Soyons clairs... ce n'est pas parce que j'ai recours à une préparatrice mentale que je vais gagner les JO, ni que je saurai surmonter ma peur en toutes circonstances. En revanche, il est indéniable que cela me permet d'aller plus loin, de vivre mieux ma passion... sans compter que depuis, j'ai appris à gérer les mauvaises séances et qu'elles ne me détruisent plus comme avant. Parce que oui, dans le sport, il y a des mauvaise séances. Elles sont dures à encaisser (ça fait carrément très mal à l'ego), mais d'une, elles ne nous définissent pas, et de deux, ce sont elles qui font le plus progresser.
La préparation mentale, que ce soit dans n'importe quel sport, dans les études, la vie professionnelle, la vie privée et pour peu que l'on accepte de se remettre en question (enfin en même temps, si on a recours à un préparateur mental, c'est bien qu'on a conscience qu'il faut changer des choses hein), entraine des répercussions positives.
Et allier une optimisation de nos résultats à un peu de zénitude dans notre monde, franchement, ce n'est pas désagréable du tout !
Pour contacter Carine, vous pouvez consulter sa page facebook ou l'appeler directement au 06.72.81.62.71.
Elle intervient chez elle, chez vous, dans votre structure sportive, en présentiel ou par skype.
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| si vous voulez voir Michalak dans les Dieux du Stade (rhaaaa qu'il est beau !), vous pouvez consulter votre moteur de recherche préféré |
Pendant loooongtemps, et même plus que cela, j'ai pensé que ce truc-là était réservé aux professionnels du sport et que moi, avec mon niveau plus proche des pâquerettes que des nuages, je n'étais pas concernée. Et quand je parle de pâquerettes, on peut même évoquer des pâquerettes naines. Je suis sûre que ça existe, si si !
Et puis je croyais également que cela consistait en une espèce de psychothérapie façon new-age, et franchement, je n'avais plus très envie de farfouiller dans le bordel qui règne parfois dans mon cerveau.
Et vous savez quoi ? J'avais tort, mais alors, dans les grandes largeurs !!!
Parce que déjà, la préparation mentale, ce n'est pas analyser le pourquoi du comment de notre histoire. Du tout du tout. C'est une boîte à outils, basée sur la concentration, de façon à éliminer au maximum tout ce qui parasite notre pratique.
Attention, quand on parle de parasite, on on ne parle pas de la co...asse que l'on n'aime pas, on parle des pensées négatives, même si la co..asse est un gros parasite. On n'a pas le droit de l'éliminer, elle, on aurait des soucis avec la justice.
Quant au niveau... faut que je fasse un aparté. Dans la série "idées reçues", je considérais que les grands cavaliers, ceux qui sautent 140 comme je passe les barres au sol, étaient des êtres surnaturels venus d'ailleurs, et surtout j'étais absolument convaincue qu'il s'agissait de gens snobs et condescendants envers le bas peuple. Et bam ! j'en ai rencontré un, et vlan ! il s'avère que j'avais encore tort. C'est le seul cavalier de haut niveau que je n'ai jamais côtoyé, et non seulement il est sympa et accessible, mais en plus, c'est un excellent pédagogue qui m'a fait comprendre que peu importe la hauteur, nous méritons tous le même respect.
Bref, j'en suis arrivée à la conclusion que moi aussi, puisque mon problème principal est la peur, je pouvais solliciter une préparation mentale. Et là, vous allez me dire : "mais t'as pas déjà une coach ?"
Et bienî si, et ma coach est même particulièrement brillante, tant par ses compétences de coaching que par ses qualités humaines (je t'aime Virg' !! m'abandonne pas surtout !!!).
Son seul défaut, c'est qu'elle n'est pas un robot, qu'elle a aussi besoin de dormir et de manger (tarte au citron meringuée, pour la corrompre, y'a rien de mieux). Dès lors, elle ne peut pas nous briefer sur tout. Elle m'avait déjà donné des outils que j'utilise toujours (exemple, ma routine de début de piste : la cloche sonne, je m'arrête, je ferme les yeux, je respire, je visualise le n° 1 et je prends le galop). Mais voilà, j'avais besoin de plus. Oui, même pour aller sauter 80 cm (quand je vous dis que ce n'est pas la hauteur qui compte, bon sang !).
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| on est belles toutes les deux, quand même ! |
J'ai donc choisi une préparatrice mentale que j'avais vue sur feue Equidia et qui était intervenue au club, Carine Camboulives (réussir sur mesure). Il faut préciser que le coach reste le coach, et que jamais, au grand jamais, je n'accepterai que quelqu'un vienne contredire la mienne ou cherche à décrédibiliser sa façon de faire. Ma coach, c'est la meilleure, et personne n'a intérêt à dire le contraire, nomdidiou !
Carine, et j'espère que tous les préparateurs sérieux font de même, communique en préambule sa charte de déontologie : le respect des choix du coach y figure, ainsi que le fait qu'elle n'apporte "qu'un" complément à nos entrainements et concours.
Sa méthode se base sur la sophrologie, la méditation de pleine conscience, la respiration et sur tout ce qui permet de se recentrer sur soi.
Quelques séances ont suffit pour que je dispose d'une solide panoplie. Au départ, je voulais tout appliquer, et c'est une erreur ! Carine m'avait pourtant prévenue !!! J'ai ensuite "choisi" les outils qui me conviennent le mieux et qui ne sont pas toujours les mêmes selon mon état d'esprit du moment.
Soyons clairs... ce n'est pas parce que j'ai recours à une préparatrice mentale que je vais gagner les JO, ni que je saurai surmonter ma peur en toutes circonstances. En revanche, il est indéniable que cela me permet d'aller plus loin, de vivre mieux ma passion... sans compter que depuis, j'ai appris à gérer les mauvaises séances et qu'elles ne me détruisent plus comme avant. Parce que oui, dans le sport, il y a des mauvaise séances. Elles sont dures à encaisser (ça fait carrément très mal à l'ego), mais d'une, elles ne nous définissent pas, et de deux, ce sont elles qui font le plus progresser.
La préparation mentale, que ce soit dans n'importe quel sport, dans les études, la vie professionnelle, la vie privée et pour peu que l'on accepte de se remettre en question (enfin en même temps, si on a recours à un préparateur mental, c'est bien qu'on a conscience qu'il faut changer des choses hein), entraine des répercussions positives.
Et allier une optimisation de nos résultats à un peu de zénitude dans notre monde, franchement, ce n'est pas désagréable du tout !
Pour contacter Carine, vous pouvez consulter sa page facebook ou l'appeler directement au 06.72.81.62.71.
Elle intervient chez elle, chez vous, dans votre structure sportive, en présentiel ou par skype.
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